La plage de Minihic offre un très beau panorama sur la baie de Saint-Malo : du Cap Fréhel à la Pointe de la Varde, avec la vieille ville de Saint-Malo en bout de plage, et les nombreux rochers formant la baie, visibles à marée basse.

Cette plage familiale offre une vue superbe sur le Sillon et la vieille ville de Saint-Malo.

Pêcheurs en plein travail...

Malgré un temps un peu agité, nous sommes partis de cette magnifique plage à marée basse pour une grande promenade...

Nous approchons de la ville, le soleil darde timidement et trace sur le sable des ombres gigantesques...

Une série de brise-lames, fabriqués à l’aide de troncs d’arbres, plantés sur la plage vulnérable à l'érosion, peut constituer un abri pour protéger une zone de mouillage lors de mauvais temps.

Notre promenade se termine dans la vieille ville "intra-muros"....

Echauffement.

Elle est très élégante Mathilde...et concentrée.

C'est fini, elles sont premières Niveau 4 et qualifiées pour la suite ...

Œuvre de l’artiste américain Shepard Fairey aka Obey. Il s'agit d'un immense portrait de femme, doublé d'une grosse fleur, symbole de paix, qui ornent un mur à l'angle de la rue Jeanne d’Arc et du boulevard Vincent Auriol depuis juin 2012.

La ligne 6 du métro sur le Boulevard Vincent Auriol.

Le jardin récemment réaménagé sur le boulevard, jusqu'à, la Place d'Italie.

Nous faisons un petit crochet dans le quartier de la Butte aux Cailles, ancienne usine transformée en logements, Place Paul Verlaine.

Au 57 de la rue Bobillot un curieux portail en arc de cercle, portant l’inscription : Fédération nationale des blessés du poumon et des chirurgicaux – Dispensaire, abrite depuis 2002 une association : L’E.S.A.T REGAIN-PARIS, Etablissement et Services d’Aide par le Travail.

Sainte-Anne de la Maison Blanche. Cette grande église de style Romano-byzantin œuvre de l’architecte Bobin a été édifiée 1894 à 1912 au milieu d’un quartier en voie de peuplement rapide. Elevée sur une crypte elle possède un autel central et de remarquables vitraux et mosaïques réalisés par Mauméjean en 1937-38. Le conseiller de Paris Nolleval et sa femme en avaient donné le terrain, de même que celui d’un foyer pour personnes âgées rue Vandrezanne et de l’œuvre de la Mie de Pain en face de l’église, rue Charles Fourier. Ici se situe en effet le cœur de ses très nombreuses institutions charitables du sol et sociale du 13ème arrondissement de Paris qui était au XIXème siècle plus pauvres de la capitale. (Source Histoire de Paris)

Au bout de la rue Bobillot, près de la Place de Rungis, la Boucherie de la Passerelle, restée dans son décor d'antan que j'aime tant !

Le détail de notre promenade...

Jardins du Palais-Royal. Les jardins furent décidés par le cardinal de Richelieu pour ornementer le Palais-Royal et furent réalisés par Pierre Desgotz, le jardinier du roi. Le palais et les jardins furent légués à Louis XIII à la mort du cardinal et la famille royale s'y installa. Il fut modifié sous Charles X pour lui donner son aspect actuel, avec les galeries et les tracés des allées.

Richelieu achète en 1624 l’hôtel de Rambouillet qui présentait pour lui le double avantage d’être proche du Louvre et d’être bordé par un fragment de l’enceinte de Charles V qui pouvait, s'il était démoli, fournir un grand espace en pleine ville derrière son hôtel. Ce sera le cas en 1633, un brevet royal lui donnant la propriété des terrains. La suite, ci-dessous…

Le Ministère de la Culture et de la Communication dont les locaux sont répartis dans divers lieux historiques, dans le Palais-Royal et rue de Valois dans un bâtiment remanié en 2006 par les Architectes Francis Soler et Frédéric Druot.

Rue de rivoli, l'entrée du Musée du Louvre par le passage Richelieu.

Avant d'entrer au musée, nous avons fait le tour de l'esplanade et ses fameuses pyramides. Malgré les nombreux débats et critiques sur l'opportunité de cet ensemble architectural, que nous devons à François Mitterrand, il faut reconnaitre que c'est une véritable réussite qui attire les parisiens et les touristes du monde entier.

Un clin d'œil à l'actualité de ces derniers jours... Hermaphrodite, fils d’Hermès et d’Aphrodite - Marbre grec découvert à Rome, près des thermes de Dioclétien, IIème siècle après J.-C.

Les trois grâces. - Marbre grec découvert à Rome, sur le mont Cælius, IIème siècle après J.-C.

La fameuse Vénus de Milo, il m'a fallu jouer du coude pro la prendre.. les japonais se photographiaient un à un devant la célèbre statue !

Photo prise de l'intérieur de la pyramide.

La passerelle des Arts chère aux touristes pour ses cadenas d'amour...

Le Pont Neuf et la Seine en début de crue...

Ce parc dit « parc à l'anglaise » s'étend sur 15 hectares. Haussmann décide de sa construction en 1860, et confie sa réalisation à l'ingénieur Alphand. Il est planté de nombreuses espèces végétales et abrite un grand nombre d'espèces d'oiseaux.

Ce lieu avait été utilisé, lors de la fermeture définitive du cimetière des Innocents, pour ensevelir les restes des défunts. On dut en retirer 813 tombereaux d’ossements.

Le lac artificiel était alimenté à l'époque par l'aqueduc d'Arcueil. Une légende veut que le jour de l'inauguration, le lac artificiel se soit vidé et qu'un ingénieur qui avait supervisé sa construction se soit suicidé. Il semble que le lac se soit effectivement vidé une nuit de mai 1878.

Le parc fut aménagé au-dessus de la ligne du RER et de la petite ceinture. (Source Wikipedia)

La cité internationale universitaire de Paris, fondation privée reconnue d'utilité publique est dédiée à l'accueil d'étudiants, de chercheurs, d'artistes et de sportifs de heur niveau.

Inspirée des cités-jardins du début du siècle, la Fondation se compose de sept pavillons articulés autour d’un espace vert central. Six d’entre eux, réservés à l’hébergement, portent les noms de grands scientifiques et d’universitaires : Appell, Pierre et Marie Curie, Gréard, Liard, Pasteur et Poincaré.

Nous rentrerons pas le Tram 3B nouvellement mis en service.

Le tracé en détail de notre promenade, à très bientôt...

Le pont de Bercy dessus, dessous. La Seine vue du Quai de la Gare, le Port de la Rapée.

La gare d’Austerlitz est actuellement en pleine restructuration, en 2011 le Conseil de Paris a voté la rénovation de la cour donnant sur la Seine et la construction d'une « marquise monumentale [...] constituée d'un voile de béton mince de 1 000 m2, incrusté de plaques de verre de différentes tailles, prolongeant l'avenue de France, au-dessus de la cour côté Seine de la gare ». (source Wikipedia)

La destruction du buffet de la gare en 2012, et une immense fresque éphémère de 60 m de long recouvrant la façade de la cour Seine. Réalisée par Cyril Delettre, cette œuvre célèbre la victoire napoléonienne d’Austerlitz, le 2 décembre 1805 et permettra durant dix-huit mois de faire redécouvrir le site dans le cadre de son important projet de redéveloppement d'ici à 2020.

De gros nuages noirs recouvrent la ville au niveau de l'entrée du port de Plaisance de l'Arsenal ... on distingue la Colonne de Juillet...

Près du Pont de Sully, une immense barge nommée "Le Futur" chargée de ballots de papier à recycler lutte contre le courant.

Sur la rive droite, la Quai de Béthune et le Pont de la Tournelle, plus loin, la cathédrale Notre-Dame-de-Paris.

Nous entrons dans l'église Saint-Louis-en-l'île qui se trouve à l'intersection de la rue Saint-Louis-en-l’Île et de la rue Poulletier. Cet édifice a été construit en plusieurs étapes de 1624 à 1726. Son saint patron est Saint Louis de France qui régna sous le nom de Louis IX….

La décoration intérieure de l'église a été confiée à Jean-Baptiste de Champaigne (1631-1681), neveu du célèbre peintre Philippe de Champaigne. La décoration a été réalisée sobrement, dans un style voisin de celle de l'église Saint-Jacques-du-Haut-Pas, toutes les dorures actuelles ne datant que du XIXème siècle. Lire ci-dessous...

Au n° 51 de la rue, l'hôtel de Chenizot, hôtel particulier acquis en 1719 par Jean-François Guyot de Chenizot, qui fait appel à l'architecte Pierre Vigné de Vigny pour le transformer en installant un balcon et en décorant les façades. En 1846, il est loué par l'État pour héberger l'archevêque de Paris de l'époque, Denys Affre. En 1849, l’archevêque ayant quitté les lieux, l'hôtel devient une caserne de gendarmerie. Le jardin est vendu en 1863. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 2002. La première phase de rénovation de cet hôtel s'est terminée en août 2013.

Un petit détour par la vieille rue des Chanoinesses qui date de l'époque carolingienne. Au Moyen Âge, l'accès au cloître Notre-Dame, contrôlé par quatre portes que l'on fermait la nuit, était interdit aux personnes étrangères à la communauté des chanoines et notamment aux femmes. Cet enclos canonial était constitué de propriétés exemptées d’impôt en vertu d’un édit de Charlemagne. Les nobles ont obtenu, au XVème siècle, le droit de louer les maisons des chanoines, avec pour bénéfices l'immunité face à la justice du roi et l’exemption fiscale. Le portail de pierre du n° 24, est une maison de chanoine construite en 1512. La corruption n'a pas d'âge !

Nous terminons cette journée de promenade par la Cathédrale Notre-Dame-de-Paris...

Nous avons découvert le nouveau tronçon de la petite ceinture. Un parcours de 1,3 km, entre Balard et la rue Olivier de Serres (15e). La promenade de 1,3 km de long commence au Km 10,4..

La petite ceinture du 15ème, une promenade déroutante, construite autour de Paris sous le Second Empire (1852-1869) cette ligne de chemin de fer à transporté les voyageurs jusqu’en 1934 et les marchandises jusqu’à la fin des années soixante-dix.

Elle desservait notamment les usines Citroën (parc André-Citroën) et les abattoirs de Vaugirard (parc Georges-Brassens). Depuis la végétation s’est installée spontanément sur les talus, le ballast, les ponts et les murets formant différentes strates végétale où se nichent de nombreuses espèces animales... Et des artistes du streetart...

Pour permettre l’accès de ce site au public, la Ville de Paris a réalisé un aménagement paysager qui préserve le patrimoine ferroviaire et met en valeur cette biodiversité singulière. Cette promenade est réversible en cas d’activité ferrée exceptionnelle. Le propriétaire des lieux, RFF se laissant la possibilité d'y faire à nouveau rouler des trains.

Sur notre chemin Le Grand Pavois est l'un des plus grands ensembles immobiliers de Paris, occupant presque entièrement le quadrilatère situé entre les rues Vasco-de-Gama, de Lourmel, Lecourbe et Leblanc.

Les vieilles voies ferrées restées "dans leur jus" certaines traverses ont été remplacées...

Un immeuble, situé rue Desnouettes, à l'architecture originale se cache derrière les arbres...

L’ancienne gare de Vaugirard, est un édifice à deux étages en briques roses et merlons blancs, à l'architecture similaire à la gare d'Orléans-Ceinture. Les escaliers d'accès et les quais de la gare subsistent, elle est habitée.

Quelques primevères égayent le talus.

Nous arrivons au bout de cette promenade, nous remontons les escaliers et nous traversons la rue de Vaugirard et continuons notre promenade jusqu'au Parc Georges Brassens.

Comme dans beaucoup de jardins parisiens, des ruches sont installées, on dit que les abeilles parisiennes ont la chance de butiner des fleurs vierges de tous pesticides.

De l'ancien marché ont été gardées les portes monumentales et deux bâtiments.

L'ancien marché à la criée des abattoirs de Vaugirard opérationnels de 1897 à 1975.

Des fleurs et un chaos de grosses pierres pour la plus grande joie des enfants..

L'église Saint-Germain. Elle était appelée au début du XVIIIème siècle, Saint-Germain-de-Paris. Située face au château, cette église construite en 1824, dans un style néoclassique inspiré des basiliques paléochrétiennes, fut restaurée par Joseph Nicolle de 1848 à 1854. Sa façade présente un fronton triangulaire supporté par six colonnes toscanes, dont quatre alignées en façade et deux en retour. Elle a été classée monument historique par décision en date du 23 juillet 1937.

Le château de Saint-Germain-en-Laye, ancienne résidence des Rois de France, maintenant musée d'Archéologie Nationale.

Vue sur la vallée de la Seine et le quartier des affaires de La Défense.

Surplombant la vallée de la Seine à plus de 60 m, en lisière de la forêt, la Grande Terrasse est le chef d’œuvre de Le Nôtre créée de 1669 à 1674, longue de 1945 m et large de 30 m.

Des travaux de terrassement énormes furent nécessaires pour donner l’illusion d’une terrasse sans fin. Ainsi, la chaussée de la terrasse s’élargit imperceptiblement au fur et à mesure que le promeneur avance, ralentissant ainsi le croisement des parallèles à l’horizon.

Elle offre un panorama unique et incomparable sur la vallée de la Seine et sur Paris. Par une série d’effets visuels, Le Nôtre a réussi à imprimer une dynamique. Conscient qu’une ligne droite n’invite pas le visiteur, Le Nôtre abuse l’œil et crée une perspective raccourcie par une série de différences de niveaux.

Belle surprise ! Des vaches ruminent avec bonheur l'herbe des pâturages au pied de la terrasse...

Réalisée selon le principe des citadelles à la Vauban, elle se termine par un demi-cercle, le Belvédère, pour s’achever par un octogone qui conduit au château du Val.

Belle balade en famille...

Le détail de notre parcours...

La Chapelle de Saint Blaise au Lieu dit Le Grand Saussay, sur la commune de Ballancourt. Erigée au début du XIIème siècle à l'instigation de Thierry de Galeran, propriétaire des lieux, au profit de l'Abbaye de Morigny (Etampes) en même temps que l'église de la Ferté Aleps, elle fut rétrocédée en 1159 à l'Ordre des Chevaliers du Temple, à la demande de Thierry de Galeran et grâce à l'intercession du roi Louis VII le jeune.

Après la dissolution de l'Ordre des Templiers par le Pape Clément V ordonne l'exécution de Jacques de Molay, Grand Maître de l'Ordre du Temple, en 1314, à l'instigation du roi Philippe IV le Bel, les biens immobiliers (terres, chapelles, fermes, maisons etc...) sont dévolus à l'ordre des Hospitaliers de Saint de Jérusalem, qui l'érigeront en Commanderie à partir de 1356. Vendue en 1793, elle est partiellement démolie entre 1802 et 1806.

Nous faisons un petit crochet pour voir le château de la Saussaye, brûlé et ravagé en 1593, il fut reconstruit entre 1604 et 1622 puis profondément modifié en 1793 par le général Canclaux. Ayant fréquemment changé de propriétaire du fait de filiations essentiellement féminines, il est depuis 1911 propriété de la famille de Bourbon Busset.

Nous sortons de la ville de Ballancourt, vers le bois de la Butte par le GR11C. Les fortes pluies de ces dernières semaines nous ont réservé un terrain extrêmement collant et boueux.

Un rayon de soleil nous accompagne sur le sentier qui borde le bois entre la Butte et la Fosse aux Cerfs.

Surprise : un champ de colza en cours de floraison..

Arrêt pique-nique du côté du Cul d'Enfer, avec un délicieux petit rhum distribué par Marie-Jacqueline.

Cliquez sur le lien ci-dessous pour plus d'informations sur notre parcours...

L'église de Mondeville, devant laquelle a été érigé un monument aux morts, est dédiée à St Martin, elle fut édifiée en 2 temps : aux XIIème et XIIIème siècles construction du clocher et du chœur, au XVème siècle celle de la nef.

Nous n'avons pas quitté le GR11C dans le bois de La Coupe en direction du bois de la Justice.

L'avancée est difficile le sentier est noyé d'eau, la boue colle aux pieds, nous devons marcher sur le côté en nous agrippant parfois aux arbres pour ne pas perdre l'équilibre...

Champs de colza à perte de vue.

Dans le Bois de la Baulne, nous avons trouvé des jonquilles, un signe de l'arrivée du printemps qui va nous faire revivre après toute cette grisaille....

Le carrefour du Bois de la Baulne et le Domaine de la Justice. Le Grès de la forêt de Fontainebleau appelé "Quarreaux" s'étant révélé trop tendre pour le pavage des rues de Paris, au cours du XIXème siècle les carrières de l'Yvette ne suffisant plus, l'exploitation s'étend dans les vallées de l'Essonne et de la Juine. À partir de 1865 le chemin de fer va remplacer le transport par voie d'eau et faciliter l'approvisionnement des chantiers qui se multiplient dans Paris et en banlieue.

Notre chère demoiselle vue du métro, ligne 6, hier après-midi..

La cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky La cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky est une église orthodoxe russe située rue Daru, dans le 8ème. Consacrée en 1861, elle est le premier lieu de culte permanent pour la communauté russe orthodoxe en France. Elle est le siège de l'Archevêché des Églises orthodoxes russes en Europe occidentale dans la juridiction du Patriarcat œcuménique de Constantinople. La cathédrale, crypte incluse, fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 11 mai 1981.

La rotonde située à l'entrée du Parc est un ancien pavillon du mur des Fermiers Généraux réalisé par Claude Nicolas Ledoux.

Bien que de nombreux panneaux demandaient de ne pas monter sur les pelouses pour cause de repos hivernal, les parisiens se sont précipités pour profiter des premiers rayons du soleil.

La station de métro Monceau "Art Nouveau" dessinée en 1900 par Hector Guimard pour la compagnie Générale du Métropolitain de Paris.

Du Parc Monceau, nous sommes allés jusqu'au Square des Batignolles, d'une surface de 16 615 m2, il est réalisé sous le second Empire à la demande du baron Haussmann qui réalise le désir de Napoléon III d'implanter dans la capitale plusieurs jardins à l'anglaise. Napoléon III avait ramené ce goût des jardins lors d'un voyage en Angleterre.

Église Saint-Pierre-aux-Liens, (fermée) XVème (Inscrite aux Monuments Historiques), construite sur l'emplacement d'une première église dont subsiste le clocher XIIème.

Champs de colza le long de la vallée Jean Leloup.

Traversée du Ru des Abbesses.

Lieu dit Les Ferrières près d'Osmoy.

La présence de nouveaux participants nous "tire".... l'allure est assez soutenue sur le GR11 vers le bois Lecoq.

Nous sommes encore obligés de marcher sur le côté du sentier, il reste encore des traces des pluies fortes des dernières semaines.

Nous avons fait un petit crochet vers Corbeville, superbe bouquet d'arbres en bordure de chemin.

Passage sous un pont à Septeuil.

Détail de notre parcours.

Lavoir des Bilheux près de Septeuil.

Petite halte devant l'Auberge de la truite à Rosay. J'aime bien les trèfles dans la porte de cette maison.

Bien noté.... prière de ménager les susceptibilités...

Nous terminons cette randonnée, à Mantes-la-Jolie, le long de cette avenue qui n'en finit pas jusqu'à la Gare...

Cliquez sur le lien ci-dessous pour plus d'informations et de détail sur notre parcours.